Ça y est, vous avez franchi le pas et envisagez de porter des lentilles de contact. Si elles corrigent la plupart des problèmes visuels, sachez qu’il existe certaines contre-indications, heureusement souvent passagères.
Consultez d’abord votre ophtalmologiste
Avant de sauter le pas, visite impérative chez l’ophtalmologiste ! C’est le seul spécialiste habilité à prescrire des lentilles de contact, qu’il s’agisse de votre praticien habituel ou d’un confrère spécialisé dans l’adaptation aux lentilles. Plusieurs options vous seront proposées, en fonction de votre mode de vie et de votre trouble visuel : lentilles dures, souples, journalières, mensuelles… Au moins deux autres rendez-vous seront ensuite fixés pour vous apprendre à poser et à entretenir vos lentilles, et pour s’assurer que votre vision est correctement améliorée et que vos yeux les tolèrent bien.
Peu de contre-indications définitives
C’est rare, mais il peut arriver que l’ophtalmo ne vous donne pas l’autorisation de porter des lentilles de contact. Il peut prendre cette décision notamment si vous : elles agissent comme une fine barrière devant la cornée la protègent des poussières et des bactéries, lui évitant de s’altérer. Porter des lentilles dans ces conditions peut favoriser le risque d’infections oculaires.
Le manque de larmes, ou défaut de sécrétion, est souvent dû à une situation passagère : un bouleversement hormonal comme la grossesse, les effets secondaires d’un médicament… Cela peut occasionner par une conjonctivite ou une inflammation de la cornée, connue sous le nom de kératite. Attendez que le traitement proposé fasse effet et que tout rentre dans l’ordre avant de porter des verres de contact.